dimanche 5 juin 2011
" Une nouvelle version est disponible : plus tard"
Bon c'est plus comme si le soleil pouvait revenir et au fond je m'en fous maintenant parce que ce soir je suis de retour à Paris. N'empêche que je suis bien contente parce que j'ai fini les contes de Voltaire (ou presque ) que j'ai commencé un nouveau Sagan, que je vais finir Hamlet, que j'ai fini le russe (ou presque ) que j'ai dessiné et acheté une robe Vanessa Bruno et des chaussures toutes légères.
Et puis j'ai pris un bain dans ma salle de bain préférée au monde. ( oui je suis tellement une fille sale que je le dis ici quand je prends un bain. D'ailleurs vous pouvez vous aussi chez vous notez mon calendrier de bain d'après vos observations. )
Je suis juste un peu triste d'abandonner mon bureau. Je crois que c'est la première fois que je viens et que j'y passe autant de temps. De toutes les façons tout ce temps je l'ai passé à regarder la pluie tomber par la fenêtre en buvant du thé et c'est tout.
Donc voilà bisous la campagne, les oiseaux, le thé Hediard, l'odeur de lavande, la chaleur lourde, les arbres trempés et la balançoire qui grince, je retourne dans ma chambre avec vue sur pigeon mort.
" Frôlée par les ombres des morts
Sur l'herbe où le jour s'exténue
L'arlequine s'est mise nue
Et dans l'étang mire son corps."
Apollinaire - Crépuscule
(envies de naturisme )
Et puis j'ai pris un bain dans ma salle de bain préférée au monde. ( oui je suis tellement une fille sale que je le dis ici quand je prends un bain. D'ailleurs vous pouvez vous aussi chez vous notez mon calendrier de bain d'après vos observations. )
Je suis juste un peu triste d'abandonner mon bureau. Je crois que c'est la première fois que je viens et que j'y passe autant de temps. De toutes les façons tout ce temps je l'ai passé à regarder la pluie tomber par la fenêtre en buvant du thé et c'est tout.
Donc voilà bisous la campagne, les oiseaux, le thé Hediard, l'odeur de lavande, la chaleur lourde, les arbres trempés et la balançoire qui grince, je retourne dans ma chambre avec vue sur pigeon mort.
" Frôlée par les ombres des morts
Sur l'herbe où le jour s'exténue
L'arlequine s'est mise nue
Et dans l'étang mire son corps."
Apollinaire - Crépuscule
(envies de naturisme )