lundi 19 avril 2010
Les vacances à Paris
15:07
Eh, on se retrouve à Paris, finalement.
Les jours passent doucement, tout va bien. Je devrais travailler mais il fait beau.
Mon amour est parti, elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le coeur vide. Elle a fait des fertiles des averses arides et l'horreur du monde n'est rien en comparaison à ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union pensent oublier un peu qu'on est triste ici bas et qu'ici solitude est le dernier repas. Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit Dieu qui font toucher du bout des doigts les horizons et toujours à la fin on est seul au milieu...Des vagues de sanglots et du sel dans la gorge et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué à so:n nom que l'on crie au fond des vers de vin, à se dire que la vie oui n'était qu'une putain. Ami, regarde moi j'ai le coeur qui renverse la mémoire de ses yeux qui me colle à la peau et dans les bars du port je cherche magie noire pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a jeté et le sourire des filles non ne me fait plus rien et je commence à croire que les hommes qui on pris d'autres hommes pour amour on regle la question, après tout dis moi qu'est ce qu'elles ont de plus que nous? Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient. Cette horreur au fond d'elles ou à ce monstre qui crie. Quand elles vous font l'amour tu sais qu'elle n'oublient pas qu'il n y a qu'à la nature qu'elles ne tiennent paroles
De remettre ma tête dans la gueule du serpent
Samedi. Immense flemme, gros temps de réaction puis glande chez Fanny, Mario Kart, Crunch, le soir soirée de Marie Dupont, avec Fanny et Madeleine ( les photos seront là vendredi )
Dimanche : Déjeuner avec Annabelle à l'Indiana de la Bastille, place des Vosges, arrivée de Terence. On va chercher Felicien au Jean Bar, on retourne place des Vosges, Eric Lilian Terence arrivent ainsi que des inconnus, Rod aussi, Asher, Christophe, Douglas et des inconnu(e)s. Après midi tranquille, retour chez Madeleine.
Les jours passent doucement, tout va bien. Je devrais travailler mais il fait beau.
Mon amour est parti, elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le coeur vide. Elle a fait des fertiles des averses arides et l'horreur du monde n'est rien en comparaison à ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union pensent oublier un peu qu'on est triste ici bas et qu'ici solitude est le dernier repas. Elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit Dieu qui font toucher du bout des doigts les horizons et toujours à la fin on est seul au milieu...Des vagues de sanglots et du sel dans la gorge et du sel sur la plaie de ce coeur tatoué à so:n nom que l'on crie au fond des vers de vin, à se dire que la vie oui n'était qu'une putain. Ami, regarde moi j'ai le coeur qui renverse la mémoire de ses yeux qui me colle à la peau et dans les bars du port je cherche magie noire pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a jeté et le sourire des filles non ne me fait plus rien et je commence à croire que les hommes qui on pris d'autres hommes pour amour on regle la question, après tout dis moi qu'est ce qu'elles ont de plus que nous? Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient. Cette horreur au fond d'elles ou à ce monstre qui crie. Quand elles vous font l'amour tu sais qu'elle n'oublient pas qu'il n y a qu'à la nature qu'elles ne tiennent paroles
De remettre ma tête dans la gueule du serpent
Pêle mêle; rien de bien récent